Ripples est un roman visuel de science-fiction centré sur un jeune de 18 ans en dernière année de lycée. Il a retrouvé sa meilleure amie, Darci, et est parti à l’école comme un autre jour, mais quand la journée continue, il a étudié de nouvelles informations sur son père qui est mort, ce qui l’a fait remettre en question la vérité sur sa mort.
Je ne suis généralement pas du genre à négliger une bonne histoire, mais lorsqu’un ami m’a parlé de Ripples, j’ai compris que j’étais passé à côté de quelque chose qui pourrait devenir un nouveau favori. Le jeu commence comme une charmante et simple histoire d’éveil et de découverte sexuelle, avec toutes les pitreries qui s’ensuivent, mais ensuite l’aspect science-fiction du jeu entre en jeu et nous commençons à voir une histoire plus profondément complexe prendre forme.
L’art et les animations sont magnifiquement éclairés, les personnages sont joliment conçus, et les scènes pour adultes sont sensuelles comme je ne l’avais pas vu depuis longtemps. L’utilisation d’animations dans les scènes adultes et non adultes est efficace pour ajouter de l’immersion à l’histoire. Mon seul vrai reproche concernant le design des personnages est que le personnage GILF, que l’on voit ici, a l’air remarquablement jeune, plus comme une tante que comme une grand-mère. C’est peut-être une limitation du moteur, mais comme il s’agit d’un moteur que je ne connais pas bien, je n’en suis pas sûr.
La production est simple et efficace, et bien qu’il n’y ait rien de très différent de ce qui a été vu auparavant, la mise en œuvre est efficace. La conception et le placement du menu de choix est une touche agréable (au moins pour les joueurs droitiers), qui fait que le jeu se démarque un peu. L’interface utilisateur du jeu est jolie, et fait ce qu’une interface est censée faire : s’écarter du chemin et ne pas être désagréable. La composition de l’écran tient également compte de l’espace de texte dans le tiers inférieur, ce qui évite de devoir utiliser fréquemment la touche « H ». Il n’y a rien de plus ennuyeux que d’avoir à cacher le texte parce qu’il recouvre les bonnes parties.